Mémé dans les médias

En cours d’aventure, les médias ont un peu parlé de nous:

Patrick Lagacé, le tout premier, nous a consacré un charmant billet : Une Québécoise en Haiti . C’est là que le bal est parti!

Dans le temps des Fêtes, Philippe Marois, de Radio-Canada, était de passage en Haiti. Il est venu passer un après-midi dans notre Cour pour rencontrer mes filles et les enfants du quartier. Une entrevue trippante, qui vous offre un nouveau point de vue. Il faut sélectionner l’émission du 13 janvier 2011.

Un article flatteur d’un ami que me connait bien, Marc Desjardins. Il exagère un tantinet (j’ai jamais dormi sous la tente, j’ai pas ce courage-là), soyez prévenus.

À Montréal, au retour, Franco Nuovo nous a invitées en entrevue à son émission Sans préliminaires, à Radio-Canada.

Mawoui, une autre voyageuse qui a l’air de tripper pas mal, m’a consacré un billet sur son blogue.

Et enfin, parce que parfois il m’arrive de réfléchir par écrit, une lettre à la Presse dictée directement par mon expérience des enfants en Haiti. Eux, ils ne tombent ni dans les trous, ni dans les piscines. Bon… okay, y’ont pas de piscines… mais y’a un méchant paquet de trous, de rigoles et de falaises… Un parallèle intéressant.

Ben voilà. Vous allez finir par tout connaître de moi!

Marie

6 commentaires pour Mémé dans les médias

  1. Bonjour!
    Il y a aussi ici : http://www.moimessouliers.org/meme-attaque-haiti/ après avoir lu l’article de Mawoui, je t’ai découverte et j’ADORE ce que tu fais!
    Au plaisir,
    Jennifer

  2. dominique léger dit :

    marie, pauvre lapin, 4 enfants de 4 pères différents, je plains tes enfants. occupe-toi-d’eux.Es-tu allée en Haiti pour avoir du sexe. Putain. femme de petites moeurs

  3. Roland Carrier dit :

    PAP. J’achèterai votre bouquin sous peu. Lu l’article élogieux du Devoir aujourd’hui. Votre plume très new-yorkaise , la pointe de la plume très rude qui gratte sur les plaies des gens et de cette ville. J’ai été un invité privilegié. Vécu au top en haut Petionville, La Boule maison d’une diplomate ( la valise diplomatique inviolable selon les conventions internationales, peu importe les bagages personnel ou un container ) 4 étages style chic années 60, vue sur la ville imprenable caché en permanence dans son sac a main un 38 , un chauffeur, 4/4 plaque diplomatique chez elle une femme , « reste avec » sa vie durant robe sale qu’on engueule tous les jours selon l’humeur de madame qui boit trop de scotch.

    En route un lundi matin d’hiver on descend les côtes pleines de trous jusqu’en bas dans le chaudron de la ville RDV aux Affaires Étrangères. Passage obligé direction palais présidentiel , la coupole toujours croche longeant le jardin du parc, la clôture fraîchement repeinte le gazon très vert et propre. Après on arrive dans un carrefour je ne peux me souvenir lequel mais c’est l’enfer de Dante.

    Un traffic fou miroir du 4/4 frôlé au pouce sur la rue un marché à ciel ouvert, châssis de carcasse de voiture désossé appuyé sur un très haut mur , des pièces de d’auto, les trottoirs pleins bourres de produit innombrable dépose sur le trottoir les espaces séparée par des toiles de plastiques bleues ( vous avez dit chier en pleine rue) là il faut payer ,des hommes non pas des humains mais des esclaves qui tirent des chariots en bois très lourd soutenu par deux vielles roues d’auto comme des coolies chinois qui tirent, les yeux exhorbité ,les muscles a s’en faire peter le dos ,des caisses de liqueurs aussi lourdes que le poid d’un truck a en crever.

    Une foule dense qui marche entre les voitures, les autobus bourrées les taxis camionnettes usés le frame croche plié, les pneu a la fesse qui transportent des pauvres paqueteés comme des sardines entremêles de vendeurs qui vendent de la pacotille et vous remettent une gourde déchirée et collante pour l’achat d’une liqueur haïtienne surtout pas assuré de bouffer le lendemain. Poussière chaleur humidité insupportable.

    Des mères de familles jeunes avec des enfants qui travaillent 14 heures par jour transport en sus parcourir 2 heures ( arrive pas en retard) faire la cuisine et le ménage chez les riches la peur au ventre tout le temps de peur de se faire jeter n’importe quand. Sur la rue , tout le monde avec des bolettes, en gang attendre son tour auprès d’un tuyau crevés sur la rue qui gicle lentement entouré de détritus immondes , d’un traffic dense l pour le remplir d’eau potable.

    Ce qui est fascinant c’est l’élite du pouvoir habillé en permanence veston cravate manifester en silence l’appartenance de classe n’importe où en tout temps ou presque , une attitude , un body langage arrogant, en lutte de classe permanente sur fond de corruption immuable , valse de gouvernement annuel jetable, se battre pour s’approprier les ministères les plus payants, LES taxes de l’aéroport, le port de PAP, les biens de l’état à leur profit favorisant naturellement le traffic de drogue sans que la fondation de Bill Clinton, ni l’ambassade US ne bouge d’un poil.

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